Retrouvez ici, les biographies des personnages de la série Nobel 2050 ayant reçu un prix Nobel de physique dans le futur.
Laura RadcliffNaissance : 14 août 1983 à Garland (Texas, Etats-Unis)
Affiliation au moment de la sentence :
Affiliation au moment de la sentence :
Harvard's Faculty of Arts and Sciences
Champs : Théorie des Cordes, dimensions supplémentaires
Contribution : La compréhension de la molécule Z’ comme une manifestation d’une dimension supplémentaire de l’espace.
Champs : Théorie des Cordes, dimensions supplémentaires
Contribution : La compréhension de la molécule Z’ comme une manifestation d’une dimension supplémentaire de l’espace.
Laura Radcliff est l’exemple de la réussite féminine en matière de carrière scientifique.
Née au début des années 1980, la jeune femme issue d’un milieu raisonnablement aisé va connaître, comme beaucoup, les conséquences de la grande crise économique américaine de l’an 2000. C’est la crise qui la pousse à s’exiler en Inde dans l’objectif d'y terminer ses études. Soutenue par L’équipe indienne du Centre de recherche atomique Bhabha d’Inde (BARC/TIFR) qui l’a pratiquement ‘adoptée’ parmi les siens, c’est auprès de Ravi Sundara qu’elle développe sa compétence en matière de physique nucléaire. Leur travail consiste aussi à cette époque à analyser une partie des résultats obtenus au LHC au début des années 2010.
Parallèlement, Laura Radcliff développe sa propre analyse de la Théorie des Cordes, un travail qu’elle n’achèvera qu’en novembre 2041 avec une modélisation toujours inconstestable en 2050 et pour laquelle elle est mondialement reconnue.
De retour aux Etats-Unis dans les années 20, elle poursuit ses recherches en collaboration avec le CERN et participe à l’élaboration de l’ILC (International Linear Collider).
C'est elle qui a l'idée de se pencher plus attentivement sur la question des "dimensions supplémentaires". Pour son travail au sujet de la molécule Z’ elle demande à Ravi Sundara de s'associer avec elle et obtient avec succès les résultats qui permettent à ce duo de recevoir l’ultime récompense.
Née au début des années 1980, la jeune femme issue d’un milieu raisonnablement aisé va connaître, comme beaucoup, les conséquences de la grande crise économique américaine de l’an 2000. C’est la crise qui la pousse à s’exiler en Inde dans l’objectif d'y terminer ses études. Soutenue par L’équipe indienne du Centre de recherche atomique Bhabha d’Inde (BARC/TIFR) qui l’a pratiquement ‘adoptée’ parmi les siens, c’est auprès de Ravi Sundara qu’elle développe sa compétence en matière de physique nucléaire. Leur travail consiste aussi à cette époque à analyser une partie des résultats obtenus au LHC au début des années 2010.
Parallèlement, Laura Radcliff développe sa propre analyse de la Théorie des Cordes, un travail qu’elle n’achèvera qu’en novembre 2041 avec une modélisation toujours inconstestable en 2050 et pour laquelle elle est mondialement reconnue.
De retour aux Etats-Unis dans les années 20, elle poursuit ses recherches en collaboration avec le CERN et participe à l’élaboration de l’ILC (International Linear Collider).
C'est elle qui a l'idée de se pencher plus attentivement sur la question des "dimensions supplémentaires". Pour son travail au sujet de la molécule Z’ elle demande à Ravi Sundara de s'associer avec elle et obtient avec succès les résultats qui permettent à ce duo de recevoir l’ultime récompense.
Pour l'anecdote : Laura Radcliff et Ravi Sundara ont été mariés et ont eu 2 enfants jumeaux. Aujourd'hui séparés dans la vie privée mais pas dans la vie professionnelle, Laura Radcliff aurait déclaré à l'annonce de ce prix : "Je pensais avoir déjà reçu la meilleure récompense de ma collaboration avec Ravi avec la naissance de Eddy et Nelson, le Nobel est le troisième enfant que nous avons eu... mais professionnellement ! C'est formidable !"
Ravi Sundara
Naissance : 27 mars 1976 à Gumla (Jharkhand, Inde)
Affiliation au moment de la sentence :
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Théoricien à Harvard
Champs : Physique théorique, Dimensions supplémentaires
Contribution : La compréhension de la molécule Z’ comme une manifestation d’une dimension supplémentaire de l’espace.
Champs : Physique théorique, Dimensions supplémentaires
Contribution : La compréhension de la molécule Z’ comme une manifestation d’une dimension supplémentaire de l’espace.
Après des études en physique théorique à l'Université de Ranchi en Inde, Ravi Sundara obtient une bourse internationale pour pousuivre ses études aux Etats-Unis.
Après son post-doctorat en physique des particules qu’il a souhaité passer à Berkeley, il répond à l’offre de poste du Centre de recherche atomique Bhabha d’Inde (BARC/TIFR) qui vient de créer un département en collaboration avec la France et qui se doit de produire une partie de l’étude des résultats du LHC à l’orée 2010. C’est à cette occasion qu’il rencontre pour la première fois Laura Radcliff qu’il intègre dans son équipe. C’est ensemble déjà qu’ils vont participer à la mise en évidence de l’existence du Z’.
L’équipe Sundara-Radcliff a cependant du mal à faire aboutir ses travaux et les restrictions de
budget les obligent à interrompre une partie de leur recherches en 2016 tandis que les expériences du LHC sont jugées décevantes.
Ravi Sundara tente alors de retourner travailler aux Etat-Unis, mais se heurte à de nombreux refus de poste permanent. Sans financement pour ses recherches, et dans un moment de découragement face à la communauté scientifique internationale de plus en plus complexifiée, il envisage de se reconvertir dans la finance. C’est Laura Radcliff cette fois-ci qui lui apporte son soutien alors qu’elle vient d’obtenir un poste de consultante pour l’élaboration de l’ILC (International Linear Collider). Elle lui présente à cette occasion une ébauche de théorie de la dimension supplémentaire de l‘espace.
Après son post-doctorat en physique des particules qu’il a souhaité passer à Berkeley, il répond à l’offre de poste du Centre de recherche atomique Bhabha d’Inde (BARC/TIFR) qui vient de créer un département en collaboration avec la France et qui se doit de produire une partie de l’étude des résultats du LHC à l’orée 2010. C’est à cette occasion qu’il rencontre pour la première fois Laura Radcliff qu’il intègre dans son équipe. C’est ensemble déjà qu’ils vont participer à la mise en évidence de l’existence du Z’.
L’équipe Sundara-Radcliff a cependant du mal à faire aboutir ses travaux et les restrictions de
budget les obligent à interrompre une partie de leur recherches en 2016 tandis que les expériences du LHC sont jugées décevantes.
Ravi Sundara tente alors de retourner travailler aux Etat-Unis, mais se heurte à de nombreux refus de poste permanent. Sans financement pour ses recherches, et dans un moment de découragement face à la communauté scientifique internationale de plus en plus complexifiée, il envisage de se reconvertir dans la finance. C’est Laura Radcliff cette fois-ci qui lui apporte son soutien alors qu’elle vient d’obtenir un poste de consultante pour l’élaboration de l’ILC (International Linear Collider). Elle lui présente à cette occasion une ébauche de théorie de la dimension supplémentaire de l‘espace.
C’est le point de rencontre explosif de ces deux théoriciens : Sundara va se consacrer à ce sujet et obtient non seulement le résultat révolutionnaire qui remet en question notre perception de l’espace, mais aussi un poste permanent aux côtés de Laura Radcliff à l’Université de Harvard !
